La phénologie détermine la longueur de la saison de croissance des arbres. Elle affecte donc les processus biogéochimiques et biogéophysiques associés tels que le stockage de carbone ou l’albédo, la productivité végétale et la biomasse, le climat local et régional, l’abondance et la diversité de la faune locale tels que les herbivores et les pollinisateurs, mais aussi les interactions avec les organismes du sol et la composition des écosystèmes sur le long terme.
L’étude de la phénologie est donc centrale pour de nombreux secteurs économiques tels que l’agriculture, la gestion forestière, le jardinage, la conservation [1] et aussi la santé publique [2]. Comprendre comment la phénologie va répondre aux changements futurs est un réel enjeu sociétal.
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